Voici déjà plusieurs années que l’on célèbre, le 31 mars, la Journée mondiale de la sauvegarde. En fait de célébration, il s’agirait plutôt de mettre l’accent sur l’importance que représentent les opérations de sauvegarde pour la préservation de nos existences numériques.
« Nous connaissons tous quelqu’un qui a perdu des fichiers importants: des photos, des vidéos, de la musique, des recensions de livres ou des documents strictement personnels », témoigne Ismail Jadun, initiateur du « World Backup Day ».
« Cette Journée mondiale de la Sauvegarde a été créée afin de faire réfléchir chacun d’entre nous à la réalité de sa vie numérique, aux nombreuses options qui s’offrent à nous et afin de nous inciter à procéder à des sauvegardes. Ce qui serait encore mieux, c’est d’amener chacun d’entre nous à parler de la mission importante qui nous incombe à tous. A savoir, la préservation de notre héritage numérique pour les générations futures. »
Faire des Journées mondiales de la sauvegarde un moyen d’attirer l’attention sur l’importance de sauvegardes régulières n’a d’ailleurs rien d’un luxe superflu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes: il est déjà arrivé à plus d’un Belge sur trois de perdre définitivement des photos de vacances. C’est ce qu’a révélé une étude commanditée, l’année dernière, par Seagate. Dans près d’un cas sur deux, la faute en incombait à l’utilisateur lui-même. Seul un Belge sur quatre effectue une sauvegarde de ses photos pendant ses vacances et à peine la moitié le font après leur retour de congés. On continue donc à sous-estimer dangereusement l’importance d’une bonne sauvegarde.
Cette importance d’une bonne sauvegarde est une constante planétaire. Alors que 30% des gens ne procèdent jamais à une sauvegarde de leurs données numériques, 113 téléphones sont égarés à chaque minute qui passe. Cela signifie que, toutes les heures, plus de 2.000 personnes perdent irrémédiablement la totalité des données stockées sur leur smartphone. Sans compter les pertes de données subies pour cause de contaminations par des virus. Chaque mois, un ordinateur sur dix est infecté par un virus (*).
L’oubli n’est pas une excuse
Omission et distraction sont les principales excuses qu’évoquent systématiquement nombre de personnes qui ne procèdent pas à des sauvegardes. Elles se disent certes prêtes à le faire mais n’y pensent tout simplement pas de manière suffisamment régulière. Il n’est pourtant pas nécessaire de penser chaque jour à faire une sauvegarde pour qu’elle s’effectue malgré tout. Il existe en effet suffisamment de produits et de services en-ligne qui permettent de procéder automatiquement à une sauvegarde quotidienne. Il est possible de choisir une sauvegarde locale sur un disque dur. Le logiciel nécessaire est fourni afin que la sauvegarde se produise quotidiennement à heure fixe. C’est par exemple le cas avec la gamme Seagate Backup Plus. On peut également opter pour une sauvegarde dans le cloud, avec Microsoft OneDrive par exemple. Ou encore choisir une solution mixte, où les sauvegardes locales quotidiennes sont synchronisées avec la sauvegarde dans le cloud. Cette option (200 Go) est proposée gratuitement, pendant une durée de deux ans, avec la gamme Seagate Backup Plus.