Aujourd’hui, nous sommes ravis de pouvoir vous proposer le test de la souris Razer Basilisk V3, reçue en avant-première pour réaliser un test. Un modèle très apprécié des fans dont nous allons sans attendre vous présenter notre avis ! Voyons ensemble de quoi il en retourne !
Après un excellent Razer Basilisk Ultimate qui propose une solution sans-fil tout en gardant des performances orientées gaming compétitif, Razer a décidé de revenir au filaire pour un Basilisk V3 plus abordable en termes de prix, sans sacrifier les performances !
Niveau packaging, la souris propose un manuel complet, ainsi que son sticker et c’est tout ! Il suffit de la brancher, lancer l’installation auto ainsi que l’installation de Razer Synapse pour customiser la Basilisk et vous êtes prêts pour dominer les champs de bataille vidéo-ludiques !
La forme générale reste inchangée et la prise en main est toujours aussi immédiate. On notera que le bouton au bout du pouce est désormais bien plus accessible car il dépasse de la souris et n’est plus placé à ras de la coque comme sur le Basilisk Ultimate. C’est une excellente nouvelle, car plus facile d’accès d’une part, sans pour autant être trop encombrant et engendrer des miss-clics intempestifs !
En effet, il n’y a pas d’effort à faire pour l’enclencher, on y a accès avec le bout du pouce ! Bien sûr, les deux autres boutons sur la tranche sont toujours là et n’ont pas subi de refonte en termes de design et d’ergonomie (et tant mieux !), ils sont toujours aussi faciles d’accès et loin d’être gênants !
Les boutons embarquent la seconde génération d’interrupteurs optiques. Avec ses 70 millions de frappes en termes de durée de vie, la fiabilité est aussi au rendez-vous avec des cliquetis plus dur pour une sensation de maîtrise plus poussée. Il faudra donc appuyer légèrement plus fort que sur la Basilisk Ultimate, mais je préfère. Il m’est arrivé maintes fois de cliquer sans le vouloir en laissant le poids de mes doigts sur les touches du Basilisk Ultimate, mais rien de tel sur la Basilisk V3 !
Bien sûr, ces interrupteurs se retrouvent aussi sur la roulette et les autres boutons de la souris. La précision est donc de mise, et le capteur de 26000 dpi (contre 20 000 sur le précédent modèle) est fiable même quand vous soulevez légèrement la souris !
La roulette est cliquable aussi bien en appuyant perpendiculairement dessus, qu’en appuyant sur les tranches de cette dernière. Les boutons à l’arrière ne permettent plus simplement de chosie la sensibilité de la souris, car le bouton le plus proche de la molette permet de régler le comportement de cette dernière. Soit en roue libre avec une granulation pour plus de précision, c’est comme bon vous semble !
C’est plutôt sympa de pouvoir passer facilement de l’un à l’autre, alors que le Basilisk Ultimate demandait de régler une molette sous la souris pour obtenir un résultat plus personnalisé, certes. Rappelons aussi que les 11 boutons sont entièrement programmables, avec la possibilité de changer facilement de profil de touches en fonction du jeu en pressant simplement sur la touche sous la souris !
Niveau sensation, la gouttière pour le pouce est toujours un régal en termes de confort et de précision, soutenu avec les parties en caoutchouc antidérapantes sur les faces latérales. Le revêtement global a été changé. Fini la plastique un peu brillant, Razer propose un aspect plus matte plutôt confortable et qui ne laisse pas de traces de doigts, un des gros défauts du précédent model ! Aussi, les pads en plastiques à la base de la souris occupent désormais une plus grande surface ! La souris glisse très bien sûr le tapis, et fait beaucoup moins de bruit de frottements, fatalement. La différence en ce point est assez bluffante en comparant les deux modèles.
Autre différence, l’éclairage LED passe de 14 points à 11 points d’éclairages. En pratique, on ne voit pas vraiment la différence, mise à part qu’il n’y plus d’éclairage sous le clic gauche, mais un éclairage sur toute la base de la souris. Le résultat est vraiment sympa, et je vous avoue que je préfère clairement le rendu LED de la Basilisk V3 ! Un éclairage entièrement personnalisable via l’application à télécharger ! Pour finir, le câble USB tressé semble un peu mieux fini que le Basilisk Ultimate, avec une sensation plus douce, moins rêche ! Un câble USB qu’on ne peut malheureusement pas retirer lors des transports par exemple. Un petit point négatif qui n’est clairement pas un problème !