Après FIFA 16, c’est au tour de Pro Evolution Soccer 2016 d’être testé par les équipes de GameActu.be ! Véritable concurrent au nouvel opus d’Electronic Arts ou simple rival qui restera à la seconde marche du podium ? Le verdict dans notre test !
Malgré une époque de dénomination, la marque Pro Evolution Soccer peinait à s’imposer sur nos PlayStation 3 et Xbox 360 face aux FIFA qui imposaient ces améliorations très envoûtantes et son gameplay plus arcade. Depuis cette année, on annonce ce Pro Evolution Soccer 2016 comme celui qu pourrait tout changer. En effet, il y a de nombreux changements les amis !
Tout d’abord, le FOX Engine est optimisé parfaitement pour ce titre. Nous retrouvons des animations travaillées au maximum ainsi qu’un gameplay fluide est terriblement réaliste. Les joueurs viennent beaucoup plus rapidement vous aider lors des phases offensives et tout se fait très naturellement. On s’amuse à construire le jeu ce qui n’était clairement plus le cas dans les précédents opus. Une franche réussite !
Ensuite, la durée de vie est plutôt conséquente. Nous retrouvons de nombreuses compétitions au programme comme la célèbre Ligue des Champions, la coupe UEFA, la coupe Libertadores, l’AFC Champions League et bien d’autres. Vous pourrez bien entendu rajouter à cela un mode Be A Legend et le mode en ligne pour atteindre plus d’une centaine d’heures (si la lassitude ne s’installe pas au fil des heures).
Pour finir, la bande-son est correcte même si les commentateurs n’aident vraiment pas à rentrer dans la rencontre (un peu trop robotisés ?). On notera aussi l’ambiance dans les stades qui est assez fidèlement reproduite.
Malheureusement, quelques problèmes sont toujours présents. En effet, il est difficile d’être très précis dans la surface de réparation et les gardiens sont beaucoup trop prévisibles. Aussi, l’arbitre ne sifflera que sur des fautes qui peuvent éventuellement tuer un joueur. Un simple tacle considéré comme fautif est souvent totalement oublié par celui-ci. Une abbération sur des matchs importants qui peuvent changer totalement la physionomie de la rencontre. Nous noterons aussi l’absence de certaines licences.